MNNQNS, élixir de jeunesse.
Après des mois à écouter de la musique composée sous lexomil, du folk auvergnat neurasthénique ou de pâles imitations d’électro-pop underground (n’y voyez là aucune critique, j’aime beaucoup l’Auvergne et les anxiolytiques, c’est… Lire la suite