Archives de Tag: guillaume mazel

Jours de futurs incertains* (et pruneaux d’Agen) by Guillaume Mazel.

La bataille avait été terrible, épiquement terrible, plus d’un y avait laissé la peau (c’est le cas de Mr. Cobra qui muait ce jour là) et les plumes (c’est le cas de l’homme… Lire la suite

Comment le nouvel appartement de Laurie Anderson en Brooklyn fut habité par un corbeau nommé Lou (by Guillaume Mazel).

  Elle l’avait voulu blanc, avec quelques tons de gris, mais le plus simple possible, l’appartement près de Coney Island devait être illuminé par lui seul, vu qu’un grossier immeuble avait été planté… Lire la suite

Coffee in a trash can (by Guillaume Mazel).

Il y a surement une médecine, un truc de grand mère pour éviter ça, un de ces livres-médicament type Bucay ou Byrne, une volonté zen… d’ici a ce que je trouve, je bois.… Lire la suite

On a retrouvé Mark Hollis (by Guillaume Mazel).

– Il était là, tout recroquevillé mon sergent, enfoui entre deux vieux tapis, c’est moi qui l’ai trouvé ! – On trouve toujours quelqu’un de perdu dans le souk de Fès, ce n’est pas… Lire la suite

Mick Jones & André Raimbourg (by Guillaume Mazel).

En ce jour de date vague où le petit Mick (bien que majeur) trouva la tôle de sa plus dure que ses Doc Martens et survécu ainsi au gentil vampire Exactement à dix… Lire la suite

De nos deux Amériques, qui du serpent, qui de l’aigle ? L’amer ictus (by Guillaume Mazel).

Préambule   Joie.   Guillaume Mazel poursuit ses errances musicales, oniriques, et surréalistes.   Comme un Jack Kerouac cathare sous amphètes. Fils de joie des troubadours païens exubérants du pays d’Oc, descendant de… Lire la suite

Agnès & William by Guillaume Mazel.

Vingt-neuvième carte symphonique trouvée dans un coffre et attribuée à Sir William Sheller, compositeur en son temps de magnifiques œuvres. Il est dit que la réceptrice de la dite missive devait être en… Lire la suite

Il y avait quelque chose de pourpre… By Guillaume Mazel.

Il y avait quelque chose de pourpre sur le faisceau de lumière que traversait la vitre, donnant à la scène une idée mentie d’église, une odeur vraie de dieux, ce violet trompé envahissait… Lire la suite

Ô les beaux murs verts pâles de nos enfants chétifs – feat. Ian C & Philippe P (by Guillaume Mazel).

C’est horrible, je ne connais rien de plus douloureux qu’une rage de dent, ça vous cisaille les pensées en même temps que ça vous électrifie nerf à nerf, c’est horrible, mais faut que… Lire la suite

Comment Alain et Mick eurent vingt ans et puis mille ans en une nuit de Madrid (by Guillaume Mazel).

On aurait dit une star de magasin chinois, de carton plus que de strass, ce visage de deux chevaux attrapés par le tronc d’un platane, déambulant comme Mime Marceau entre hidalgos et hidalgettes,… Lire la suite

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